Angelica Marden

Nom : Marden
Prénom : Angelica
Surnom : a vous de voir
Age : 18 ans
Profession : étudiante en histoire


Description physique (6 lignes minimums) :
Pour commencer mon rapport je dirais qu'il est difficile de s'en faire une idée vu qu'elle est toujours habillé de vêtements ample, donc que ce soit pour nous ou pour ceux qui doivent la côtoyer il est dur de s'en faire une idée. La personne la mieux placé pour en parler à part Angelica elle-même c'était sa mère. D'après celle-ci sa fille était un idéal féminin. Des courbes généreuses, des atouts indéniable, une peau douce et claire, sans défaut, pas de tâches de naissance, pas de plaies, de cicatrices sur son corps. Une taille bien marqué et un physique d'une douceur et d'une finesse apprécié.
Cela rendu tout à fait inutile car surmonté d'un visage disgracieux, pas qu'elle l'ai vraiment choisit, non en fait c'était vraiment l'inverse. Quittant la mère que je ne pouvais déjà pas supporter, mais ça ne se voyait pas, je montai vers la chambre de la jeune fille. Je savais déjà à quoi m'attendre, en effet son visage n'était apparemment pas à la hauteur de son physique. Rempli de cicatrices, de plaie en tout genre, difforme. Un traitement qui faisait d'elle...un monstre... un traitement qu'elle avait reçue de sa mère. En arrivant on eu en effet la surprise, surtout pour mon collègue qui recula un peu sous le choc. C'était inhumain, on ne pouvait qu'éprouvé du dégout et de la pitié pour elle. Enfin pas moi bien sur, j'ai pris l'habitude de considérer tout le monde comme il se doit. Comme ce qu'il est. Je la regardait donc attentivement mais sans en être gênante. Elle avait des yeux magnifique, d'un marron virant sur le doré. Vraiment très beaux. De long cheveux noir lisses. Je n'avais rien de plus à rajouté sur elle, en tout cas physiquement.

Description mentale (8 lignes minimums) :
Après niveau comportement j'aurais eu vite fait le tour aussi si je n'avais pas pris l'habitude de voir des enfants maltraités. Je m'attendais à ce qu'elle nous repousse comme ci c'était nous les monstres qui venaient l'agressé dans sa prison. Mais non ce n'était pas du tout l'impression qu'elle donnait. En effet, elle arrangea ses cheveux sur le devant de son visage comme pour ne pas nous importuner et se tourna légèrement pour nous faire face. J'étais d'abord surprise, j'avoue que je pensais qu'elle aurait montré des signes de violence et de rejet, ou qu'elle nous aurait pris de haut nous montrant son visage pour nous faire fuir. Mais non rien de tout ça, elle était très agréable, en lui parlant cette impression ne changea pas. Elle était adorable, prévenante et dans ses yeux elle avait une telle lueur d'intelligence qu'avec mes doctorats je me sentis si ... insignifiante, mais elle était aussi très gentille, et d'une douceur infini. Elle était si prévenante avec nous. Elle paraissait très autonome aussi, lâchant quelque seconde la discussion au profit de mon compagnon je regardait la chambre, pas de miroir, une petite fenêtre aussi grande que son armoire, peu de vêtements mais ce n'était pas surprenant. Une veste avec une grande capuche posée sur le bord du lit. Revenant vers elle je m'informait de son niveau d'étude, elle avait des résultats digne des meilleurs élèves, elle devait d'ailleurs être la première de sa promotion. Donc que dire finalement. Toute les qualités que je suis capable d’énoncer elle les avait, sans aucune extrême, elle était émotionnellement parfaite, moralement digne. En discutant on comprenait bien la folie qu’avait frappé sa mère responsable de tout le malheur de sa fille qui était une enfant, une femme, un amie parfaite. En plus elle avait du talent dans ce qu'elle faisait, une carte crayonné de sa ville posée sur son bureau ainsi qu'un nombre incalculable de dessin la mettait au rend de professionnel, d'artiste affirmé.
J’eus de la peine a entendre son histoire, bien que j’avais l'habitude des maltraitances. Tellement il y avais de chose à dire. Elle parlait bien et avais compris qu'on était là pour l'aider alors elle nous dévoila tout, naturellement, sans émotions superflue, sans "craquage". Il n'y a que quand j'avais commencé à parler du fond du problème, sa mère qu'elle avait eu de la colère, une colère justifiée, non extravagante.

Histoire (15 lignes minimums) :
Pour commencer je vais faire état de ce que nous savions avant d'arriver, les informations prisent après avoir reçue le coup de fil d'appel à témoin.
Tout commence il y a 18 ans et quelques mois, elle naît d'un père charpentier et d'une mère anciennement ouvrière. Grâce aux revenue du père ils vivent donc tout les trois dans une maison en bord de ville. Tout ce passe bien, pas de faits divers qui sortirais de l'ordinaire, ni trop de parfait, une famille tranquille qui ne pose pas de problème mais sans cacher des choses perturbante. Avec leur nouvel enfant ils invite leur voisin des amis, bref rien à redire. A ses trois ans la petite va en crèche et joue avec tout le monde, elle ne cause aucun problème et ne se retrouve jamais dans les histoires d'arrachage de jouets ni les bagarres d'enfants turbulents. Elle passe ensuite à ses six ans en classe primaire, pareil rien à redire. Mais c'est à cette époque où les souvenirs reste que les choses commence à mal tourner. Après seulement trois mois à l'école sa mère tombe enceinte, à priori une bonne nouvelle. Cependant le père ne sera jamais mis au courant et quand la mère atteindra ces 5 mois de grossesses, elle mettra fin aux jours de l'enfant. En demandant aux voisins personnes n'avaient jamais été au courant de cette grossesse.
Voilà donc ce que l'on a pu apprendre pendant les quelques heures passé à discuter avec elle.
Lorsqu'elle avait 6 ans et demi, alors qu'elle descendait de sa chambre après avoir fait les coloriages que son maître lui avait demandé, elle aperçue sa mère dans le salon. Ce n'était pas rare, vu qu'elle aimait regardé le jardin par la baie vitrée. Elle remonta vivement dans sa chambre pour récupéré le dessin et le montrer à sa mère. Elle redescendit en courant toute fier d’elle comme le sont les enfants qui aime partager avec leur parents. Elle passa donc dans le salon d'une manière innocente la feuille à la main prête à la montrer. Elle s'arrêta toute souriante derrière sa mère et posa sa petite main sur la jupe de sa mère prête à la tirer doucement pour lui montrer quelle était là, mais son regard se posa sur le sol, du liquide rouge coulait de sa mère... elle lâcha prise et recula en se cognant dans la table ce qui fit se retourner sa mère qui avait des aiguilles à tricoter dans ses mains, la mère se retourna face à elle, un sourire torturé et dément apparue sur son visage, la petite eu terriblement peur. Sa mère continua son affaire, elle inséra les aiguille pour enlever le bébé de son corps... un bruit sur fini par arriver, le cadavre du bébé était par terre, sa mère disant qu'il y avait assez avec une petite fille parfaite, deux ce ne serait pas bien. Elle était complètement folle, elle attrapa sa fille et commença à la frapper avec les aiguilles, la repoussa sur le sol disant qu'elle était trop parfaite, trop bien, trop aimée, qu'elle n'avait pas le droit d'exister.
Angelica remonta dans sa chambre, elle pleurait elle ne comprenait pas, elle ne voulait pas que ce soit vrai. Elle avait décidé d'attendre son père pour lui parler, mais les misères pour elle ne faisait que de commencer. Quand son père rentra elle voulu sortir de sa chambre mais la pièce était fermées à clef. Pour répondre aux questions que son père posait concernant sa fille la mère répondit qu'elle était malade et quelle dormait, la petite cria de tout son soule, mais aucun son ne parvenait à son père. Elle essaya la fenêtre mais impossible de l'ouvrir, trop dur pour ses petits bras. Son père l’avait bloquée pour éviter un accident malencontreux... quelle ironie... et la mère avait isoler la chambre, l'insonorisation lui permit plus tard d'effectuer ses méfaits sans les révéler. Le père croyant sa fille très malade n'en dormit plus les nuits, mais laissait faire sa femme qui avait l'air aimante et aux petits soin avec sa petite fille chérie, même les voisin paraissait inquiet pour elle et se voulaient rassurant avec sa mère. Deux mois après sa supposé maladie, son père se tua dans un accident de voiture. Une durite qui a sauté et direct dans le décors, un arbre eu raison de lui. La mère racontant qu'il était trop fatigué par al maladie qui touchait sa fille, pleurant devant les autres et empêchant son enfant d'avoir du chagrin, la frappant la torturant. Elle l'envoya dans un foyer de délinquant ne la supportant plus pour le jour de ses neufs ans. Elle était déjà défigurée, elle subit donc moqueries et railleries de la part de tout ses camarades, qui l'a traitait de monstre. Elle fut témoins de viols, de meurtre lorsque la pension la mis à la rue vu que sa mère ne payait plus les frais. Elle s'en sortit tant bien que mal et entra à la faculté avec un niveau d'histoire extraordinaire, ayant réussit à étudier dans les bibliothèques. Sa mère la repris chez elle sans vraiment lui laisser le choix, la rendant malheureuse un peu plus chaque jour. Elle avait néanmoins la possibilité de sortir de chez elle et d'aller en cours, même de trainer de temps en temps, n'étant plus parfaite pour sa mère.
C'est grâce à ça qu'un étudiant à pu nous prévenir de ce qu'il se passait ici. Ce qui amène donc à la fin de ce que je peux vous raconter vu que la suite de son histoire est mon arrivé chez elle.
Partant de la maison sans avoir inquiété sa mère ne risquant ainsi aucune représailles envers sa fille. Je mettais déjà au point dans ma tête ce que j’allais faire pour elle, la chirurgie réparatrice, un bon chez soi... bref tout pour la réintégrer, elle le méritait.

Signe particulier ?Un visage scarifié.

Bon d'accord, qui êtes-vous réellement (hors Rp)?

Prénom : Newt
Age : 21 ans
Métier :
Que pensez-vous du forum : Possible à améliorer au fur à mesure.
Des idées pour l'améliorer : Alors ça si je peux aider y a pas de souci, mais je verrais direct avec l'admin suprême.
Comment avez-vous connu le forum ? : Par le grand chef incontesté.
Une idées de créatures féroces qu'on pourrai rencontrer dans ce forum ?