J'ai eu chaud...
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J'ai eu chaud...
Alan regardait les barreaux de la cellule. Ils étaient bien trop slide pour qu'il puisse les briser. Il frappa violemment les barreaux, rageant de s'être fait prendre au piège aussi facilement. Il tendait l'oreille mais n'entendait rien. Le silence le pesait énormément à force. Seul dans sa cellule toutes les idées possibles pour s'évader lui vinrent rapidment.
"-Utiliser un pied du lit comme levier pour soulever les barreaux... Non... Le passage secret dans le mur... Mais qu'est-ce que je raconte... Je perd les pédales. Faut que je sorte ça m'énerve."
Alan frappa du pied contre le lit, proférant des injures à l'attention de John Steward. Il faisait un sacré refus. Il voulait sortir tout de suite.
Soudain un petit cliquetis lui parvint, comme des minuscules claquements contre le sol. Alan s'arrêta net et observa les barreaux. Du fond de la cellule il put distinguer quelquechose dans l'obscurité. Il se précipita rapidement contre les barreaux et s'écria :
"-Qui êtes-vous ? Je suis l'inspecteur Alan Hakeshi et j'ai besoin de votre aide. On m'a enfermé ici mais je vous promets que je suis l'inspecteur Hakeshi. Tenez voici ma plaque de police..."
Alan chercha dans sa poche intérieur sa plaque de police. En la sortant il fit tomber un autre objet : Une sorte de bracelet. Il le remit dans sa poche en se demandant d'où il venait. Il chercherai la solution de ce problème plus tard. Alan tendit sa plaque à travers les barreaux hors de la cellule et la seule réponse qu'il lui parvint fut des crissements se rapprochant. Alan n'eu pas le temps de s'interroger sur cet individu qu'il sentit une vive douleur provenant de sa main envahir tout son bras, comme un poison se propageant dans ses veines. Il laissa tomber sa plaque sur le sol puis rentra sa main à l'intérieur de la cellule. Il observa sa main et vit deux coupures profondes sur son avant-bras, et malgré le manque de lumière il sentai qu'un étrange liquide en plus de son sang coulait de cette plaie.
Il entendit un bruit sourd, détourna son regard sur les barreaux et put distinguer une petite forme, de maximum un mètre essayant de briser les barreaux à grand coups de... pattes.
Alan n'en croyait pas ses yeux, il se recula et se colla au mur du fond. Il était tétanisé, le manque de lumière lui était monté la tête. Il distingua une seconde forme se joindre à la première, ainsi qu'un troisième. Ils frappaient contre les barreaux et Alan avait peur qu'ils finissent par les briser. C'est ce qui se produit. Soudain les barreaux étaient tombé lourdement sur le sol devant Alan et les choses avançaient doucement en crissant. Alan avait peur, il se laissa tomber, toujours contre le mur. Il sentai qu'il manquait de force, se sentait endolori, épuisé et engourdi. Il se doutai que sa blessure y était pour quelquechose. Une des choses s'avança assez près pour qu'Alan puisse constater sa forme insectoïde, comme une mantes religieuses. Elle s'avança trop proche pour Alan qu'il la repoussa d'un coup de pied. Il avait du mal à bouger et sentait qu'il ne pourrai plus réitérer son attaque. Son regard se détourna pour qu'il ne contemple pas sa mort mais se fixa sur un paquet de cigarette et un briquet caché dans le matela renversé. Puisant dans ses dernières forces, Alan se jeta sur le briquet, sortit son spray au poivre de sa ceinture, se prépara à faire jaillir le spray et commença à essayer d'allumer un flamme grâce au briquet. Il essaya une première fois mais il n'y eu que des étincelles, une seconde fois et toujours rien ne se passa. Enfin la dernière fois fut la bonne, une flamme se dégagea du briquet. Alan appuya sur le bouton pression de son spray et une vague de flamme envahit la pièce en direction des insectes qui brulèrent. Alan hurla " Brule saloperie brule !!!".
Une mauvaise odeur se répendait dans la pièce, une odeur de chair brulée. Les silences avait fait place à de crissements horribles, les derniers de choses en train d'agoniser. Il enleva son doigts du bouton presion du spray et la feu s'arrêta mais les bestioles continuèrent de bruler. Très engourdi, Alan passa à côté des crétures après avoir récupéré le paquet de cigarette. Il sortit de la cellule tant bien que mal en se disant à lui-même :
"-Heureusement que les détenus savent cacher leurs affaires quand on les fouillent. "
Alan remit le briquet dans sa poche et le spray à sa ceinture et monta l'escalier qui le séparait des bureaux du commissariat, souhaitant ne plus faire de mauvaise rencontre mais espérant revoir rapidement John Steward. Il était loin de se douter qu'il allait être exaucé pour John mais malheureusement pas pour son premier voeux.
"-Utiliser un pied du lit comme levier pour soulever les barreaux... Non... Le passage secret dans le mur... Mais qu'est-ce que je raconte... Je perd les pédales. Faut que je sorte ça m'énerve."
Alan frappa du pied contre le lit, proférant des injures à l'attention de John Steward. Il faisait un sacré refus. Il voulait sortir tout de suite.
Soudain un petit cliquetis lui parvint, comme des minuscules claquements contre le sol. Alan s'arrêta net et observa les barreaux. Du fond de la cellule il put distinguer quelquechose dans l'obscurité. Il se précipita rapidement contre les barreaux et s'écria :
"-Qui êtes-vous ? Je suis l'inspecteur Alan Hakeshi et j'ai besoin de votre aide. On m'a enfermé ici mais je vous promets que je suis l'inspecteur Hakeshi. Tenez voici ma plaque de police..."
Alan chercha dans sa poche intérieur sa plaque de police. En la sortant il fit tomber un autre objet : Une sorte de bracelet. Il le remit dans sa poche en se demandant d'où il venait. Il chercherai la solution de ce problème plus tard. Alan tendit sa plaque à travers les barreaux hors de la cellule et la seule réponse qu'il lui parvint fut des crissements se rapprochant. Alan n'eu pas le temps de s'interroger sur cet individu qu'il sentit une vive douleur provenant de sa main envahir tout son bras, comme un poison se propageant dans ses veines. Il laissa tomber sa plaque sur le sol puis rentra sa main à l'intérieur de la cellule. Il observa sa main et vit deux coupures profondes sur son avant-bras, et malgré le manque de lumière il sentai qu'un étrange liquide en plus de son sang coulait de cette plaie.
Il entendit un bruit sourd, détourna son regard sur les barreaux et put distinguer une petite forme, de maximum un mètre essayant de briser les barreaux à grand coups de... pattes.
Alan n'en croyait pas ses yeux, il se recula et se colla au mur du fond. Il était tétanisé, le manque de lumière lui était monté la tête. Il distingua une seconde forme se joindre à la première, ainsi qu'un troisième. Ils frappaient contre les barreaux et Alan avait peur qu'ils finissent par les briser. C'est ce qui se produit. Soudain les barreaux étaient tombé lourdement sur le sol devant Alan et les choses avançaient doucement en crissant. Alan avait peur, il se laissa tomber, toujours contre le mur. Il sentai qu'il manquait de force, se sentait endolori, épuisé et engourdi. Il se doutai que sa blessure y était pour quelquechose. Une des choses s'avança assez près pour qu'Alan puisse constater sa forme insectoïde, comme une mantes religieuses. Elle s'avança trop proche pour Alan qu'il la repoussa d'un coup de pied. Il avait du mal à bouger et sentait qu'il ne pourrai plus réitérer son attaque. Son regard se détourna pour qu'il ne contemple pas sa mort mais se fixa sur un paquet de cigarette et un briquet caché dans le matela renversé. Puisant dans ses dernières forces, Alan se jeta sur le briquet, sortit son spray au poivre de sa ceinture, se prépara à faire jaillir le spray et commença à essayer d'allumer un flamme grâce au briquet. Il essaya une première fois mais il n'y eu que des étincelles, une seconde fois et toujours rien ne se passa. Enfin la dernière fois fut la bonne, une flamme se dégagea du briquet. Alan appuya sur le bouton pression de son spray et une vague de flamme envahit la pièce en direction des insectes qui brulèrent. Alan hurla " Brule saloperie brule !!!".
Une mauvaise odeur se répendait dans la pièce, une odeur de chair brulée. Les silences avait fait place à de crissements horribles, les derniers de choses en train d'agoniser. Il enleva son doigts du bouton presion du spray et la feu s'arrêta mais les bestioles continuèrent de bruler. Très engourdi, Alan passa à côté des crétures après avoir récupéré le paquet de cigarette. Il sortit de la cellule tant bien que mal en se disant à lui-même :
"-Heureusement que les détenus savent cacher leurs affaires quand on les fouillent. "
Alan remit le briquet dans sa poche et le spray à sa ceinture et monta l'escalier qui le séparait des bureaux du commissariat, souhaitant ne plus faire de mauvaise rencontre mais espérant revoir rapidement John Steward. Il était loin de se douter qu'il allait être exaucé pour John mais malheureusement pas pour son premier voeux.
Re: J'ai eu chaud...
Alan était engourdi, il longeait les murs afin de ne pas tomber au sol à cause de son manque de force. Une douleur violente le lançait de son avant bras jusqu'à son épaule. Son sang perlait sur sa peau et coulait, goutte à goutte au sol, et laissait derrière lui une piste simple à suivre, une piste rouge sur le sol blanc. Il tenait fermement son bras, appuyant sur la plaie afin que l'écoulement de sang s'arrête. Il se dirigeait vers son bureau situé à l'autre bout du couloir. Chaque pas était une véritable torture pour lui. A la lueur de quelques faisceaux de lumière perçant par endroit l'obscurité avant de s'éteindre soudainement, Alan se débrouillait pour se repérer et imaginer ce qui ,pourrai encore lui tomber dessus. Il était ressorti meurtrie de son dernier affrontement et espérait bien en avoir fini avec toutes ces étrangetés. Il arriva finalement devant la porte de son bureau qu'il ne fermait jamais à clef. Il l'ouvrit puis fouilla l'un des tiroirs et en tira des bandages, les blessures étant légions dans la vie d'un bon flic. Il ramassa aussi le nécessaire pour se soigner, imbiba une compresse d'une solution désinfectante puis la fixa à l'aide du bandage qu'il enroula autour de la blessure.
Serrant les dents il étouffa un cri de douleur due à la solution qui lui brula soudainement le bras. Une fois les premiers soins donnés, Alan ouvrit un autre tiroir et en tira des boites de munitions pour 44 Magnum qu'il glissa dans sa poche, cela lui donnait une vingtaine de munition supplémentaire mais son arme étant toujours entre les mains de John Steward elle ne lui servaient à rien. Il vérifia enfin s'il n'avait pas une lampe torche supplémentaire mais ses recherches furent vaines. En effet il n'avait disposé que d'une lampe qu'il avait donné à John avant que celui-ci ne le passe à tabac.
"-Je lui ai donné le bâton pour me faire frapper, je lui ai même réalisé le miracle qu'il attendait. Qu'est-ce qui m'a prit ?!!"
Une fois ses recherches terminées, Alan sortit de son bureau et se dirigea vers l'armurerie. Une fois devant la porte il put constater que celle-ci était verrouillée et que, malheureusement, c'était John qui avait son trousseau. Il voulu la défoncer mais, au vue de son état, il se ravisa. Il réfléchie une minute avant de s'exclamer :
"-Je sais !!! Bruce laisse toujours une arme au stand d'entrainement, derrière l'une des cibles ! Bruce tu me sauve la vie !"
Alan se dirigea, tant bien que mal, vers le stand de tir se trouvant à quelques portes de là. Cette porte était verrouillée aussi mais il s'agissait d'une porte vitrée. Alan saisi son spray au poivre et frappa la vitre avec le côté le plus solide. Au bout de deux essais elle se brisa en mille morceaux, révélant un stand de tir sombre mais, à priori, vide de personne. Alan put aisément passer le bras par l'ouverture et atteindre le loquet qu'il tourna, déverrouillant ainsi la porte. Il l'ouvrit prestement et se dirigea vers le stand. Il chercha derrière quelques cibles avant de trouver l'arme en question. Un Beretta, l'arme réglementaire de la police d'Angeltropia. Il trouva même un chargeur supplémentaire qu'il glissa dans la poche gauche.
Il eu tout juste le temps de le ranger qu'une autre créature, pareil au trois premières, surgit dans la pièce en crissant et en agitant ses pattes avant dans tout les sens. Alan prit l'arme en main, la braqua, sans reculer, sur la créature. Il était bien décidé à ne pas se laissé faire. Il visa précautionneusement, remarquant au passage que son arme était bien plus lourde qu'un Beretta, puis fit feu à trois reprises. La pièce s'éclaira un cours instant, comme si trois éclairs avaient illuminés la salle. L'une des balles s'écrasa contre la carapace solide recouvrant l'abdomen de la créature et les deux autres se logèrent dans la tête de la bestiole, lui crevant un oeil et la réduisant au silence. Il rangea son arme de son holster bien qu'il fut un peu trop grand puis repartit dans les couloirs en direction du hall. Il découvrit une scène de carnage, plusieurs corps de ses compagnons étaient là, ensanglantés et partiellement dévorés dans ce hall dévasté. Alan, passant près d'eux leur adressa un dernier adieu avant de leur fermer les yeux. Il vérifia mais aucun d'eux ne disposait d'une lampe torche, il devait continuer dans le noir pour l'instant. Il continua, poussa la porte d'entrée et arriva dans la rue. Il cru qu'une guerre avait éclatée : Du sang, des corps, des débris, des décombres jonchaient le sol devant lui. Regardant tout ça, incrédule, il s'adressa à lui-même :
-Mais c'est l'apocalypse ou quoi ?!?!?!
Serrant les dents il étouffa un cri de douleur due à la solution qui lui brula soudainement le bras. Une fois les premiers soins donnés, Alan ouvrit un autre tiroir et en tira des boites de munitions pour 44 Magnum qu'il glissa dans sa poche, cela lui donnait une vingtaine de munition supplémentaire mais son arme étant toujours entre les mains de John Steward elle ne lui servaient à rien. Il vérifia enfin s'il n'avait pas une lampe torche supplémentaire mais ses recherches furent vaines. En effet il n'avait disposé que d'une lampe qu'il avait donné à John avant que celui-ci ne le passe à tabac.
"-Je lui ai donné le bâton pour me faire frapper, je lui ai même réalisé le miracle qu'il attendait. Qu'est-ce qui m'a prit ?!!"
Une fois ses recherches terminées, Alan sortit de son bureau et se dirigea vers l'armurerie. Une fois devant la porte il put constater que celle-ci était verrouillée et que, malheureusement, c'était John qui avait son trousseau. Il voulu la défoncer mais, au vue de son état, il se ravisa. Il réfléchie une minute avant de s'exclamer :
"-Je sais !!! Bruce laisse toujours une arme au stand d'entrainement, derrière l'une des cibles ! Bruce tu me sauve la vie !"
Alan se dirigea, tant bien que mal, vers le stand de tir se trouvant à quelques portes de là. Cette porte était verrouillée aussi mais il s'agissait d'une porte vitrée. Alan saisi son spray au poivre et frappa la vitre avec le côté le plus solide. Au bout de deux essais elle se brisa en mille morceaux, révélant un stand de tir sombre mais, à priori, vide de personne. Alan put aisément passer le bras par l'ouverture et atteindre le loquet qu'il tourna, déverrouillant ainsi la porte. Il l'ouvrit prestement et se dirigea vers le stand. Il chercha derrière quelques cibles avant de trouver l'arme en question. Un Beretta, l'arme réglementaire de la police d'Angeltropia. Il trouva même un chargeur supplémentaire qu'il glissa dans la poche gauche.
Il eu tout juste le temps de le ranger qu'une autre créature, pareil au trois premières, surgit dans la pièce en crissant et en agitant ses pattes avant dans tout les sens. Alan prit l'arme en main, la braqua, sans reculer, sur la créature. Il était bien décidé à ne pas se laissé faire. Il visa précautionneusement, remarquant au passage que son arme était bien plus lourde qu'un Beretta, puis fit feu à trois reprises. La pièce s'éclaira un cours instant, comme si trois éclairs avaient illuminés la salle. L'une des balles s'écrasa contre la carapace solide recouvrant l'abdomen de la créature et les deux autres se logèrent dans la tête de la bestiole, lui crevant un oeil et la réduisant au silence. Il rangea son arme de son holster bien qu'il fut un peu trop grand puis repartit dans les couloirs en direction du hall. Il découvrit une scène de carnage, plusieurs corps de ses compagnons étaient là, ensanglantés et partiellement dévorés dans ce hall dévasté. Alan, passant près d'eux leur adressa un dernier adieu avant de leur fermer les yeux. Il vérifia mais aucun d'eux ne disposait d'une lampe torche, il devait continuer dans le noir pour l'instant. Il continua, poussa la porte d'entrée et arriva dans la rue. Il cru qu'une guerre avait éclatée : Du sang, des corps, des débris, des décombres jonchaient le sol devant lui. Regardant tout ça, incrédule, il s'adressa à lui-même :
-Mais c'est l'apocalypse ou quoi ?!?!?!
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