Bonne déduction mais mauvaise idée

Saito avait quitté la chambre et était allez voir deux ou trois autres patients avant que l'infirmière ne l'interpelle. C'était la même infirmière que tout à l'heure mais elle semblait différente. Elle était assez grande, 1m70-75 à première vue, une taille de mannequin et de long cheveux blonds ne laissant pas indifférent Saito. Il s'approcha calmement d'elle et entama la discution :

-Oui que ce passe t'il ? Pourquoi vous m'avez appelée?

-Veuillez me suivre s'il vous plait, j'ai à vous montrer quelquechose...

Saito s'imaginait déjà allez dans la salle de gardez avec elle et qu'ils allaient prendre du bon temps, mais elle passa devant la salle sans s'arrêter. Elle se dirigeait en réalité vers la morgue. Saito senti l'angoisse monter en lui. Il réfléchit posément à la situation et évalua ses chances de réussite à la faire taire. Il mit les mains dans ses poches et chercha à taton les différentes seringues. Il en avait 3 en tout dont 2 était encore rempli d'une liquide qui causeraient des dégats inconnus à ce jour pour lui. Arrivée dans la salle, elle fit entrer Saito et referma la porte derrière lui. Il sourit intérieurement devant la stupidité de l'infirmière, une frêle jeune fille contre un meurtrier. Elle se retourna, montra à Saito le scapel qu'elle avait dans sa poche et ajouta :

-Je sais ce que vous avez fait Dr. Fujiyama. C'est mal, très mal et contraire à l'éthyque. Vous savez que vous êtes un meurtrier ? Votre place est à Freak-Island avec les autres fous de votre espèce ! J'ai toutes les preuves grâce à l'autopsie rapide que j'ai effectuée hormis une chose... Videz votre poche et donnez moi la seringue immédiatement Docteur !

Saito sortit la seringue et la lança à terre devant l'infirmière. Après tout elle méritait d'avoir tout en sa possession. Il la regarda se pencher vers le sol pour la saisir avant de se jeter sur elle et enfoncer une autre seringue avec son contenu dans le cou de l'infirmière. Celle-ci lacha le scapel, fit une grimace de douleur et s'écroula durement à terre, prit de convulsion violente. Saito enleva la seringue et lu l'étiquette renseignant sur le composition du contenu. Il ramassa le scapel puis dit à l'infirmière en sourient et en riant :

-T'a bien commandé un cocktail des venins les plus puissants ajoutés de leur sérums ? Les effets sont encore inconnu alors essaye de te montrer plus résistante et réactive. Bien vu t'a failli m'avoir sur ce coup là mais malheureusement pour toi, une conne dans ton genre peut pas me surpasser.

Rapidment son état se stabilisa mais sa respiration était saccadé et elle grimaçait de douleur. Saito la trouvait beaucoup plus belle quand elle souriait. Il se penca sur elle et ajouta : t'es tellement belle quand tu sourit, je vais m'arranger pour te faire sourire... à jamais.
Il la tira dans l'une des chambres froides de la morgue, la coucha sur le lit et, à l'aide du scapel il l'entailla du début des lèvres jusqu'à ses oreilles, on appelait ça le sourire éternel. Il souriait et était fier de son oeuvre. Il s'était si bien débrouillé que pas une goutte de sang n'avait effleuré sa blouse. Il regarda le teint de plsu en plus blême de la jeune femme "souriante" avant de refermer la chambre froide puis ressortir pour reprendre son travail malgré le temps qui semblait vraiment s'obscurcirent. Il regarda sa montre et s'exclama : Merde il est déjà 15h15. Cette pouffiasse m'a fait perdre un temps précieux !